Ce statut autorise la réalisation d’audits indépendants « soit du ministère ayant les mines dans ses attributions, soit à l’initiative des organismes internationaux », dont la Conférence internationale sur la région des Grands Lacs.
Il s’agit des mines de Masisi et Kalehe, lit-on dans un arrêté gouvernemental.
En guise de justification, les autorités évoquent un récent rapport du Groupe d’experts de l’Onu. Ce dernier documente le soutien d’un État membre de la CIRGL (non nommé, mais faisant clairement référence au Rwanda) aux « forces négatives opérant dans l’Est ».
@sputnik_afrique










