On s’attendait à une effervescence lors de l’ouverture de la campagne électorale dans la préfecture de Kankan, mais c’est plutôt l’air morose qu’on remarquait sur tout le visage des personnes que nous avons rencontrées tout le long du parcours de notre trajet.
Dans le quartier et les bars café, chacun se plaint du manque d’argent. Il en n’est de même chez les conducteurs de taxi-motos qui enregistrent, eux aussi, du manque de clients à cause de l’augmentation du prix de carburant chez les clandestins qui joue de facto sur le prix de transport par trajet. A quand le bout du tunnel ?
Radio-kankan










