Il a débuté au Pôle national de lutte contre la cybercriminalité, aucun verdict n’a encore été rendu, selon les médias locaux.
La veille, l’avocat de l’homme politique, Mountaga Tall, a déclaré dans un message publié sur X que la procédure se composait de deux parties: une demande de libération provisoire et l’examen du fond de l’affaire.
La demande de libération conditionnelle a été rejetée, selon la presse.
L’homme politique, accusé d' »atteinte au crédit de l’État » et d' »incitation à troubler l’ordre public » suite à un message posté sur les réseaux sociaux en juillet, est incarcéré depuis août dernier.
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