Aux dires de millimolo » entre légalité construction elle et légitimes population, la candidature de Général Mamadi Doumbouya à la présidentielle de 28 décembre 2025 est désormais juridiquement possible et politiquement légitime, portée par une dynamique populaire et institutionnelle sans précédent.
Depuis le 5 septembre 2021, la Guinée vit une nouvelle ère historique de son existence.
Sous l’impulsion du général Mamadi Doumbouya, notre pays a entamé une refondation profonde de ses institutions, de sa gouvernance de sa gouvernance et de son rapport e la citoyenneté avancé.
La mobilisation de la vie publique, la lutte contre la corruption, la réhabilitation de l’autorité de l’État et la restauration de la dignité nationale ont redonné l’espoir à une nation longtemps meurtrie .
Cette dynamique a transcendé le clivage éthique.
Plusieurs acteurs politiques et sociaux, autrefois au CNRD et le général Mamadi Doumbouya, ont quitté l’opposition pour rejoindre la dynamique de refondation, tel fut mon cas.
Ce choix n’est pas un ralliement mais, une reconnaissance lucide des avancées concrètes et de la responsabilité historique qui nous incombe.
Rejoindre la refondation, c’est préférer l’action à la posture spectatrice, c’est rejoindre à l’appel du peuple.
Dans le tumulte des transitions, deux repères demeures inébranlable, notamment la lois et le peuple.
Or la candidature de Mamadi Doumbouya à l’élection présidentielle du 28 décembre 2025, s’inscrit précisément à la croisée de ses deux forces souverain ne.
Elle est juridiquement fondée, conforme à la nouvelle constitution adaptée par le référendum, et politiquement légitime, portée par une volonté populaire massive, exprimée avec ferveur par les citoyens, les acteurs institutionnels et la diaspora.
C’est cette date double matrice, celle du droit et celle du collectif, confrère à cette candidature avec son caractère exceptionnel.
De la légalité de la candidature du général Mamadi Doumbouya :
Une nouvelle constitution, une nouvelle donne. »
L’argument juridique opposé à sa candidature réponse sur l’engagement initial du CNRD de ne pas participer aux élections, mais cet engagement était inscrit dans une charte de la transition, aujourd’hui,cet engagement est caduque.
En effet :
La nouvelle constitution adaptée par référendum et promulguée, remplace la charte et constitue désormais, la seule norme suprême régissant la vie politique guinéenne.
Cette constitution ne contient aucune disposition interdisant au président de la transition de se porter candidat à l’élection présidentielle.
-Le droit électorale » guinéen réponse sur le principe de libre candidature sous réserve du respect des conditions légales .
Ainsi, aucun obstacle juridique ne s’oppose à la candidature du général Mamadi Doumbouya .
De la légitimité de la candidature du général Mamadi Doumbouya.
De la légitimité de la candidature du général Mamadi Doumbouya:
» Le peuple souverain est ultime arbitre « . La légitimité politique ne se décrète pas mais, elle se construit ». Or depuis l’annonce de la présidentielle:
– les acteurs politiques majeures ont officiellement désigné le président Mamadi Doumbouya comme leur candidat .
– des préfectures entières notamment en Guinée forestière ont lancé des appels populaire à sa candidature.
– Des citoyens, des associations et membres de la diaspora ont mobilisé des ressources pour finaliser sa caution ainsi que sa campagne.
– Des responsables institutionnels ont conditionné leur engagement à sa candidature.
Ce mouvement traduit une légitimité populaire incontestable, fondée sur la reconnaissance des acquis de la transition et l’aspiration à leur consommation.
A court d’arguments juridiques, certains acteurs politiques évoquent l’éthique, la morale , le respect de la parole donnée. Parlons-en.
Parions de responsabilité historique !
Certes, le général Mamadi Doumbouya avait pris un engagement. Mais, la responsabilité d’un leader ne se mesure pas à la rigidité de ses promesses mais, à capacité de répondre aux appels de l’histoire.
Le peuple souverain, seul détenteur du pouvoir lui demande de poursuivre l’œuvre de transformation . Refuser cette demande, se serait trahir une dynamique nationale qui dépasse les clivages partisans.
L’heure du choix a sonné. Disons les choses clairement sans ambiguïté ni masque.
La Guinée ne revient pas à l’ordre constitutionnel , voulu par le peuple, validé par le référendum et incarner par une gouvernance de rupture.
A suivre….
Issiaga Camara pour radio Kankan.com










