Depuis l’instauration du multipartisme en Guinée, par les soins du feu Général Lansana Conté, les élections en Guinée ont toujours été émaillées de contestations, de violences, de destructions de biens publics ou de mort d’homme.
De Alsény Réné Gomez, alors ministre de l’Administration du Territoire jusqu’à l’organe indépendant en charge des élections (CENI) ou tous les représentants des partis politiques siégeaient, notre pays à connu cette amère expérience.
Malgré cet état de fait, des scènes de pillages, de violences et des tueries se répétaient à chaque fois que le pays organisait des consultations générales. Il y aura même fallu une fois de sollicité l’expertise d’un général de l’armée malienne, pour proclamer les résultats des élections présidentielles en Guinée
