À la suite du coup d’État en Guinée-Bissau, le Premier ministre sénégalais, Ousmane Sonko, exige la reprise des élections interrompues.
« Ce qui s’est passé en Guinée-Bissau est une manigance, ce n’est pas normal », a-t-il déclaré
L’armée bissau-guinéenne a pris le « contrôle total du pays », suspendant les institutions de l’État, et a nommé le général Horta Inta-a Président de la Transition.
Selon M.Sonko, « les résultats du vote doivent être publiés sans délai ».
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